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Tabagisme passif

Intoxication tabagique occasionnée aux non-fumeurs par les fumeurs.

 

Taux de réponse

Pourcentage de patients traités dont la taille de la tumeur ou dont la maladie n’évolue pas ou diminue d'intensité (ORR). On distingue, les réponses complètes (CR5), le réponses partielles (PR) et les cas où la maladie est stable et n'évolue pas dans un sens ou dans l'autre (SD).

 

Taux de survie

Proportion de personnes atteintes d’une même maladie, par rapport au nombre total de cas, qui seront vivantes durant une période donnée. Le taux de survie s’exprime en pourcentage et se calcule généralement pour une période de cinq ans. Le taux de survie global comprend toutes les causes de décès, incluant le cancer, alors que le taux de survie relatif exclut toutes les causes de décès autres que le cancer.

 

Temps sans progression

Temps durant lequel la tumeur ne grossit pas et le cancer n’évolue pas.

 

Test compagnon //CoDx//

Test diagnostique permettant de sélectionner, en fonction de leur statut pour un marqueur prédictif identifié par ce test, uniquement les patients chez lesquels le traitement est susceptible d’apporter un bénéfice parmi ceux diagnostiqués pour une maladie donnée.
Le test est considéré comme « compagnon » d’utilisation du traitement.

 

Théranostic (ou théragnostic)

Néologisme qui dérive de la contraction des termes « thérapeutique » et « diagnostic »
C’est l’utilisation d’un test diagnostique, identifiant un marqueur, pour orienter la thérapeutique du patient en fonction de son statut pour le marqueur (statut positif ou négatif pour un marqueur binaire).

 

Thérapie ciblée

Globalement
Les thérapies ciblées sont trois principaux objectifs pour soigner les cancers : détruire les cellules cancéreuses, ralentir leur croissance et réduire les symptômes qu’elles provoquent.
Pour agir, le médicament va viser une protéine spécifique – dont a besoin la cellule cancéreuse – pour la détruire ou la neutraliser. Par cette action, le mécanisme de développement du cancer est empêché.

Les biomédicaments
Surtout anticorps monoclonaux : « mab »
Poids moléculaire élevé, injectable (voie IV et SC)
Longue durée d'action
Exemple : trastuzumab Herceptin et les protéines de fusion

Petites molécules, inhibitrices de voies de signalisation
Surtout inhibiteurs de tyrosine kinases : « nib »
Petites molécules, actives par voie orale avec un métabolisme hépatique => Interactions médicamenteuses possibles
Exemples : les inhibiteurs de mTOR, les immuno-modulateurs …

 

Thérapie biologique (syn. Immunothérapie)

Administration de substances naturelles ou artificielles pour renforcer le système immunitaire afin de combattre le cancer ou d’atténuer les effets secondaires causés par certains traitements antinéoplasiques.

 

Thérapie génique

Technique consistant à remplacer un gène défectueux par un gène normal afin d’aider le corps à combattre diverses maladies, dont le cancer.

 

Thoracocenthèse

Prélèvement de liquides dans la cage thoracique au moyen d’une aiguille.

 

Thoracoscopie

Intervention diagnostique au cours de laquelle on insère un petit tube muni d’une source de lumière (endoscope) à travers la paroi de la cage thoracique en vue d’examiner l’intérieur de cette paroi ainsi que la surface des poumons. Cette technique permet de prélever des tissus ou de petits échantillons des poumons qui seront ensuite analysés au microscope afin de confirmer ou d’écarter un diagnostic de cancer.

 

Thoracotomie

Intervention consistant à ouvrir la cage thoracique, habituellement pour en retirer une tumeur.

 

Thrombophlébite ou phlébite

Inflammation d'une veine qui se produit lorsqu'il y a formation d'un caillot de sang.

 

Thrombocytopénie

Affection caractérisée par une quantité anormalement faible de plaquettes dans le sang. Puisque les plaquettes sont nécessaires à la coagulation, un nombre peu élevé peut engendrer une certaine fragilité à la formation d'ecchymoses ou la tendance aux saignements. La thrombocytopénie peut être un effet secondaire de la chimiothérapie.

 

Thyroglobuline

Protéine synthétisée dans la glande thyroïde au cours du processus de synthèse des hormones thyroïdiennes. Un certain nombre d'affections, dont le cancer de la thyroïde, peuvent engendrer un taux plus élevé de thyroglobuline. Elle peut également servir de marqueur pour signaler une réactivation de la maladie après le traitement  du cancer de la thyroïde.

 

Thyroïde

Glande sécrétant des hormones qui régularisent la croissance et le métabolisme; la thyroïde est située dans la gorge, derrière la trachée.

 

Thyroïde (cancer)

C’est de loin le plus fréquent des cancers des glandes endocrines, cependant, les cancers thyroïdiens sont rares. Ils représentent environ 1% de l’ensemble des tumeurs malignes. L’incidence annuelle est de l’ordre de 2,5/100 000 chez l’homme et 7/100 000 femme (très nette prédominance féminine comme pour le reste de la pathologie thyroïdienne). On distingue :

Les cancers papillaires (plus ou moins bien différenciés) représentent 80% des cancers de la thyroïde. Ils sont l'évolution est assez lente et qui sont, pendant très longtemps, même dans les formes métastatiques, sensibles à une irradiation par curiethérapie métabolique), Carcinomes thyroïdiens différenciés Ils se développent à partir des thyréocytes sécrétrices des hormones thyroïdiennes ce qui confère deux propriétés spécifiques : la concentration de l’iode 131 qui permet la localisation le traitement des reliquats néoplasiques et la sécrétion de thyroglobuline (Tg) qui constitue marqueur tumoral après le traitement initial.
Les cancers médullaires de la thyroïde représentent 5 à 10% des cancers de la thyroïde. Cette variété histologique a été indiviualisée tardivement en 1959 par des travaux français. Ils se développent à partir des cellules C (issues de la crête neurale) sécrétant la calcitonine qui constitue un marqueur tumoral extrêmement sensible et spécifique tant pour le diagnostic initial que pour le suivi de la maladie. Son incidence est identique chez l’homme et la femme. La survie globale à 10 ans est de 70%.
Les lymphomes thyroïdiens : Les lymphomes non hodgkiniens (LNH) primitifs de la thyroïde représentent moins de 5 % des cancers thyroïdiens. Ils constituent une affection hématologique à part entière de tropisme inhabituel. Cette définition exclut les situations dans lesquelles l’invasion de la thyroïde est découverte dans le cadre du bilan d’un lymphome déjà connu.Les lymphomes se développent le plus souvent sur une thyroïdite lymphocytaire de Hashimoto si bien qu’une hypothyroïdie, le plus souvent fruste, est fréquente lors du diagnostic. La prépondérance féminine est manifeste : 3 à 4 femmes pour 1 homme avec un âge moyen de découverte en général supérieur à 60 ans.

Le cancer thyroïdien est de très bon pronostic dans l’ensemble : toutes formes histologiques confondues, la survie est de 70 à 80 % à 10 ans en l’absence de métastase initiale à distance.

 

Les thyroïdites

Ce sont des affections causées par un processus infectieux ou inflammatoire de la thyroïde.

Il existe plusieurs types de thyroïdites :

Thyroïdite aiguë suppurée est une infection à point de départ thyroïdien ou distant (dissémination d'une infection). Elle peut être due à des bactéries, comme un streptocoque, un staphylocoque, un E. coli, un bacille de Koch responsable de la tuberculose ou, beaucoup plus rarement, à des champignons ou des parasites.
Thyroïdite subaiguë de De Quervain : appelée « grippe" de la thyroïde ». C'est une inflammation probablement d'origine virale (oreillons, hépatite virale, coxsackie, écho virus...)
Thyroïdite indolore n'a pas d'origine précise. Elle est plus fréquemment observée chez la femme après la grossesse.
Thyroïdite fibreuse de Riedel est exceptionnelle mais grave. C'est une inflammation fibreuse d'évolution très rapide. La thyroïdite fibreuse est d'origine inconnue.
Thyroïdite lymphocytaire chronique de Hashimoto est la plus fréquente. La thyroïdite lymphocytaire est d'origine auto-immune. Elle touche le plus souvent la femme, entre 30 et 60 ans. Elle peut être associée à d'autres maladies auto-immunes, comme l’anémie de Biermer, une anémie hémolytique, une insuffisance surrénale lente (maladie d'Addison), un diabète insulino-dépendant, un lupus érythémateux disséminé (LED)...

Les examens complémentaires comprennent le bilan hormonal thyroïdien :

En cas d'hyperthyroïdie, la TSH sera abaissée, avec T3 et T4 libres normales ou augmentées.
En cas d'hypothyroïdie, la TSH sera élevée, avec T3 et T4 libres normales ou abaissées. Il sera normal en dehors de ces situations.
Le dosage des anticorps antithyroïdiens montrera un taux très élevé dans la thyroïdite lymphocytaire (en particulier des anticorps antithyropéroxydase), et souvent élevé dans la thyroïdite subaiguë ;
L'échographie thyroïdienne confirmera le goitre, précisera le caractère homogène ou non ainsi que l'existence éventuelle de nodules ;
La scintigraphie thyroïdienne n'est pas indispensable au diagnostic de thyroïdite. Dans le cadre d'une thyroïdite subaiguë et de la forme indolore, elle sera "blanche", c'est-à-dire qu'il n'y a pas de captation de l'iode administrée. Dans la forme chronique, des zones hypofixantes ou hyperfixantes peuvent coexister.

 

Tissu

Groupes ou couches de cellules qui sont semblables ou qui fonctionnent ensembles pour accomplir une fonction spécifique.

 

Tissu mou

Tissu servant à supporter les structures et les organes du corps comme les muscles, les vaisseaux sanguins ou les tissus adipeux. Un sarcome des tissus mous est une forme de cancer qui prend naissance dans ce type de tissus.

 

TNF (//Tumor Necrosis Factor//)

Cytokine (protéine) secrétée par certains globules blancs, les  lymphocytes « T » chargés de détruire les cellules tumorales.

 

T.N.M.

Classification internationale permettant de déterminer le stade d’évolution d’un cancer.
T décrit la taille de la tumeur.
N décrit le nombres de ganglions lymphatiques situés autour de la tumeur et touchés par le cancer.
M précise l’existence ou non de métastases à distance.

 

Tomographie par émission de positons (TEP)

Tomographie par Émission de Positons (en français) ou Positon Emission Tomography (en anglais - PET-scan).
Technique d’imagerie de bonne sensibilité et spécificité, permettant de localiser les cellules cancéreuses après l’injection d’un produit radioactif.

 

Traçabilité

Source d'information permettant de retrouver des informations concernant l'origine d'un produit.

 

Trachée artère

Tube conduisant l'air du larynx aux bronches puis aux poumons.

 

Trachéotomie

Chirurgie destinée à créer une ouverture dans la trachée artère pour permettre la respiration lorsque les voies aériennes supérieures ne sont plus perméables.

 

Traduction

Mécanisme au cours duquel les protéines sont synthétisées grâce à la lecture du message génétique inscrit dans l'ARN messager.

 

Traitement adjuvant (traitement de prévention)

Traitement de chimiothérapie ou de radiothérapie ou des deux appliqué après l’intervention chirurgicale afin de compléter la destruction des cellules cancéreuses non détectées par les techniques actuelles.

 

Traitement biologique ou immunothérapie

Traitement destiné à stimuler ou restaurer la capacité du système immunitaire à lutter contre les infections et la maladie. On le dénomme aussi par le terme de traitement modificateur des réponses biologiques.

 

Traitement conservateur

Cette intervention chirurgicale pour cancer du sein consiste à enlever la tumeur avec une marge de tissu normal tout en conservant le sein (tumorectomie). On y associe un curage des ganglions axillaires et le reste du sein est traité par radiothérapie. Elle est réalisée pour 80 % des cancers du sein aujourd'hui. Des récidives locales sont possibles dans le sein (5 % des cas environ).

 

Traitement curatif (syn. Radical)

Traitement d’une maladie visant à obtenir la guérison du patient.

 

Traitement hormonal substitutif (THS) de la ménopause

Traitement hormonal prescrit après la ménopause ou après une castration pour prévenir certains symptômes tels que les bouffées de chaleur, la sécheresse des muqueuses génitales, le risque d'ostéoporose à long terme et celui d'accidents vasculaires. Le TSH comporte toujours des œstrogènes (naturels, conjugués ou synthétiques) auxquels on associe ou non de la progestérone.

 

Traitement local

Traitement qui affecte les cellules de la tumeur dans son site ou juste à côté. La chirurgie et la radiothérapie sont des traitements locaux.

 

Traitement néo-adjuvant (primaire)

Traitement de chimiothérapie ou de radiothérapie ou des deux appliqué avant l’intervention chirurgicale afin de préparer la chirurgie dans le but de faire diminuer la taille de la tumeur et de permettre, parfois, une chirurgie plus limitée.

 

Traitement palliatif

Traitement qui consiste à réduire ou enlever les symptômes d’une maladie sans visée de guérir la maladie sous-jacente.

 

Traitement standard

Traitement reconnu et couramment utilisé pour une affection médicale, habituellement en comparaison avec un nouveau traitement qui est encore à l'état de recherche.

 

Traitement systémique

Traitement utilisant des substances qui voyagent par le flux sanguin, atteignant et affectant les cellules malades dans l'organisme tout entier. La chimiothérapie, l’hormonothérapie et l’immunothérapie sont des traitements systémiques.

 

Transcription

Mécanisme au cours duquel l'ARN messager est produit à partir de la copie d'un des brins de la molécule d'ADN.

 

Transformation

Terme qui traduit l’acquisition, par une cellule normale, de caractères propres aux cellules tumorales. Certains paramètres de transformation sont observables sur des cellules cultivées en laboratoire : besoins réduits en facteurs de croissance, capacité des cellules adhérentes à se multiplier sans support, perte de l’inhibition de contact.

 

Transplantation (ou greffe)

Dans son sens strict, la greffe s’applique aux tissus (peau, cornée…), nulle suture de veine ou d’artère n’étant nécessaire. En revanche, la transplantation d’un organe (partie du corps irrigué par des vaisseaux comme le rein, le poumon…) réclame le rétablissement du courant sanguin par abouchement de l’artère ou de la veine. En pratique, les deux mots sont utilisés indifféremment.

Il existe trois types de transplantations :

Allogreffe : transplantation entre deux individus de même espèce.
Autogreffe : transfert d’un greffon prélevé chez le receveur lui-même.
Xénogreffe : transplantation entre espèces différentes.

 

Transplantation de moelle osseuse

Procédé au cours duquel la moelle osseuse détruite par un traitement à hautes doses de médicaments anticancéreux ou par des radiations est remplacée par la moelle d’un donneur. La transplantation peut être autologue, la moelle osseuse est celle du patient et est prélevée avant le traitement. Elle peut être allogènique, c’est à dire issue d’un membre de la famille ou d’un donneur compatible. Elle peut être syngènique, donnée par un jumeau identique. Plus tard elle pourrait provenir d’animaux (xénogreffe).

 

Transposon

Séquence d'ADN qui présente la particularité de pouvoir se déplacer du chromosome bactérien vers un plasmide et d'un plasmide à un autre. Porteurs de gènes de résistance, les transposons jouent un rôle majeur dans la dissémination de résistances entre bactéries d'espèces éloignées.

 

Trépanation (voir craniotomie)

Ouverture à l’aide d’un trépan de la boite crânienne.

 

Trichomonas

Parasitose représentée par des organismes ovalaires ou piriformes souvent accompagnés de modifications épithéliales réactionnelles plus ou moins impressionnantes, justifiant un frottis de contrôle après traitement de l'infection.

 

Trompes de Fallope

Paire d’organes de l’appareil reproducteur féminin en forme de longs tubes et par lesquelles les ovules transitent des ovaires à l’utérus.

 

Tronc cérébral

Segment situé au bas de l’encéphale, en forme de tige, servant à relier la partie inférieure de l’encéphale (cerveau) à la moelle épinière.

 

Tube ou canule de trachéotomie

Tube de plastique ou de métal long de 3 à 5 cm, placé dans la trachée par un orifice crée chirurgicalement (trachéotomie) afin de la garder ouverte.

 

Tumeur

Masse de tissu anormal qui provient d'une division excessive et anormale des cellules. Les tumeurs n'ont aucune fonction utile dans l'organisme. Elles peuvent être bénignes (non-cancéreuses) ou maligne (cancéreuses).

 

Tumeur des cellules germinales (voir aussi germinome)

Tumeur se développant à partir des cellules de la reproduction (ovules ou spermatozoïdes).

 

Tumeur carcinoïde

Tumeur du système neuro-endocrinien qui prend habituellement naissance dans l'appendice ou l'intestin grêle, moins souvent dans le poumon et le pancréas et très rarement ailleurs. Elle se développe lentement et peut ne pas causer de symptômes pendant plusieurs années avant d'être diagnostiquée. Lorsqu’elle se manifeste cliniquement le malade ressent des épisodes de bouffées de chaleur (vasomotrices).

 

Tumeur de Krukenberg

Cancer qui se forme dans l’estomac et qui se propage à un ovaire ou aux deux ovaires.

 

Tumeur de Pancoast

Tumeur affectant le plus souvent les cellules épithéliales (cellules plates et minces) situées dans la partie supérieure du poumon.

 

Tumeur stromale

Tumeur affectant la trame d’un tissu ou tissu conjonctif.

 

Tumorectomie

Ablation par voie chirurgicale, d’une tumeur et d’une petite partie des tissus sains avoisinants. C’est souvent le cas pour certaines tumeur du sein.

 

Turcot (syndrome de)

Il associe une polypose adénomateuse colorectale et une tumeur cérébrale primitive, encore dénommé brain tumor-polyposis (BTP) syndrome type 2 par opposition au « BTP type 1 », forme particulière du syndrome de Lynch.
Ce syndrome est lié à des altérations constitutionnelles délétères du gène APC , correspondant ainsi à une forme particulière de la PAF (polypose adénomateuse familiale).
Le risque relatif de tumeurs cérébrales s’élève à 7, celui concernant, en particulier, le médulloblastome.

 

Tyrosine kinase de Bruton (BTK)

La tyrosine kinase de Bruton (BTK) est un membre de la famille des kinases.
C'est une protéine intra-cytoplasmique ayant un rôle majeur dans la signalisation du récepteur membranaire des lymphocytes B (BCR) mais aussi d'autres récepteurs de la surface du lymphocyte B tel que TLR, BAFF-R, CXCR4/5 .
Lorsque le récepteur BCR se lie à son antigène spécifique, la BTK se déplace vers la membrane où elle est phosphorylée (activée) par SYK/LYN .
La phosphorylation se produit sur un site très spécifique appelée tyrosine 551.
Une deuxième phosphorylation se produit alors sur la tyrosine 223 pour que la BTK soit activée.
Après cette double phosphorylation, elle va à son tour induire la phosphorylation d'autres molécules dans ces voies de signalisation.
Ces voies de signalisation sont importantes non seulement pour le lymphocyte B normal, mais aussi dans certaines hémopathies maligne B où le BCR est tonique tel que le lymphome du manteau (MCL), la leucémie lymphoïde chronique (LLC), et la macroglobulinémie de Waldenströn

 

Abréviations - T

T3 / T4 : triiodothyronine / thyroxine (hormones thyroïdiennes)
TA : tension artérielle
TABC : tronc artériel brachio-céphalique
TAP : thoraco-abdomino-pelvien
TAs : tension artérielle systolique
TB : tuberculose
TC : traumatisme crânien
TCK : temps de céphaline Kaolin (équivalent de TCA)
TCMH : teneur corpusculaire moyenne en hémoglobine
TDM : tomodensitométrie (scanner)
TdP : torsade de pointe (sur l’ECG)
TDR : test de diagnostic rapide
TEC : transfert d’embryon congelé
TEP : tomographie par émission de positons (PET-scan)
TG : triglycérides
TGMH : teneur globulaire moyenne en hémoglobine
TGV : transposition des gros vaisseaux
THS : traitement hormonal substitutif de la ménopause (HRT)
TM : trou maculaire
TME : test de maintien à l’éveil
TMS : test de migration survie (spermatozoïdes)
TN : taille à la naissance
TNF : facteur de nécrose tumorale
TNM : Tumor Nodes Metastases (classification tumorale)
TO : tension oculaire
TOC : trouble obsessionnel compulsif (OCT)
TOGD : transit œso-gastroduodénal
TP : taux de prothrombine (comme TQ)
TQ : temps de Quick
TR : toucher rectal
TRH : thyrotropin releasing hormone
TROD: test rapide d’orientation diagnostic (pour le VIH)
TS : tentative de suicide
TSA : troncs supra-aortiques
TSH : thyroid stimulating hormone
TSV : tachycardie supra-ventriculaire (à l’ECG) (SVT)
TT : tour de taille ou traitement
TV : tachycardie ventriculaire (à l’ECG) ou toucher vaginal
TVBC: tronc veineux brachiocéphalique
TVC : tension veineuse centrale
TVO : trouble ventilatoire obstructif
TVP : thrombose veineuse profonde
TVR : trouble ventilatoire restrictif
TVS : thrombose veineuse superficielle

 

Mise à jour

22 août 2016