l
Lambeau musculo cutané
Technique de chirurgie plastique utile dans certains cas pour reconstruire le sein. Le risque l'implant est insuffisant ou que le tissu cutané n'a pas une ampleur suffisante, il faut transférer de la peau d'une autre région dans la région du sein. Ce lambeau cutané doit être prélevé avec un muscle sous jacent qui lui fournit sa circulation sanguine artérielle et veineuse. Ce transfert se fait généralement par rotation autour d'une extrémité musculaire qui est conservée. Il persistera bien sûr une cicatrice à l'endroit où la peau a été prélevée. Pour le sein, les deux lambeaux musculocutanés qui sont le plus souvent utilisés sont :
Le lambeau de grand dorsal pour lesquels la peau est prélevée clans le dos avec le muscle grand dorsal. Il laisse donc une cicatrice dans le dos. Le volume obtenu est en général insuffisant. Il est donc souvent nécessaire de placer un implant en arrière du muscle.
Le lambeau de grand droit abdominal est prélevé au niveau de l’abdomen sous l'ombilic, avec un des muscles grands droits de l'abdomen. Il laisse donc une cicatrice abdominale. Il améliore parfois la silhouette abdominale et le volume du lambeau est suffisant pour qu'un implant prothétique ne soit pas nécessaire. Il peut être utilisé pour reconstruire les deux seins en même temps.
Laparoscopie
Examen des organes abdominaux au moyen d’un laparoscope (instrument d’optique) qui est introduit dans l’abdomen grâce à une petite incision à travers la paroi abdominale.
Laparotomie
Incision chirurgicale de la paroi abdominale qui permet un examen des organes abdominaux et/ou une chirurgie supplémentaire.
Laryngé
Relatif au larynx.
Laryngectomie
Opération qui consiste à enlever tout ou une partie du larynx.
Laryngoscope
Tube fin, muni d'une minuscule caméra à son extrémité, utilisé pour examiner le larynx.
Laryngoscopie
Examen du larynx au moyen d'un miroir (laryngoscopie indirecte) ou d'un laryngoscope (laryngoscopie directe).
Larynx
Partie de la gorge contenant les cordes vocales, utilisée pour respirer, avaler et parler. Le larynx est aussi appelé appareil vocal.
Larynx pneumatique
Appareil utilisant l'air pour produire des sons afin d'aider les laryngectomisés à parler.
Laser
Appareil qui concentre la lumière en un rayon intense et étroit utilisé pour couper ou pour détruire un tissu. Il est utilisé en microchirurgie, en thérapie photodynamique et pour une variété de cas de diagnostic.
Lavement baryté en double contraste
Lavement baryté ou en plus du produit liquide baryté, on injecte de l'air dans le colon pour avoir un meilleur contraste de la muqueuse colique.
Lavement baryté
Ingestion d’un produit baryté opacifiant sous forme liquide afin d’obtenir une radiographie des intestins.
Létalité synthétique
Définition
Le terme français de létalité synthétique est issu de l’expression anglaise synthetic lethality . Une traduction plus juste de synthetic lethality serait la létalité combinée.
Elle est définie comme une situation dans laquelle deux déficiences qui, prises isolément n’ont pas d’effet, deviennent létales lorsqu’elles sont combinées.
Comment "ça marche"
L’inhibition de la réparation des cassures double-brin par inhibition de l’activité enzymatique de PARP-1 est susceptible d’induire la mort cellulaire dans des lignées cellulaires tumorales présentant une déficience de certaines protéines de la recombinaison homologue des cassures double-brin tels que BRCA1 ou BRCA2.
L’inhibition de PARP conduit à l’accumulation de cassures double-brin qui sont converties lors du passage des fourches de réplication en cassures double-brin. Ces cassures double-brin ne sont alors plus réparées en cas de déficience de la recombinaison homologue par mutation de BRCA1 ou de BRCA2 .
Leucoplasie
Anciennement appelée papillomatose orale floride, c’est une lésion rugueuse mais souple à la palpation qui touche préférentiellement le sujet âgé.
Lésion blanche qui ne peut être détachée par le grattage, sans cause identifiable autre que l’usage éventuel du tabac (OMS)
Touche 1 à 4 % de la population ; plus souvent les hommes que les femmes ; souvent liée au tabagisme
Siège au niveau de la commissure labiale, de la face interne des joues, du plancher buccal ou de la lèvre inférieure.
Deux formes
- Homogène sous forme d'une plaque circonscrite, plus ou moins fissurée peu ou pas de dysplasie à l'examen histologique
- Non homogène avec un aspect érythémateux (rouge), érosif ou verruqueux par endroits avec une dysplasie fréquente
Le traitement comprend l'arrêt du tabac, une surveillance pour les formes homogènes ou une exérèse chirurgicale. Son évolution en carcinome verruqueux voire en carcinome épidermoïde infiltrant est quasi systématique. Le traitement par exérèse itérative est en général nécessaire.
Li et Fraumeni (syndrome de)
Maladie génétique héréditaire associée à une prédisposition à développer certains types de cancer décrite la première fois en 1969.
Les critères diagnostiques sont des antécédents personnels ou familiaux de cancers apparus jeunes, comme, un un cancer du sein, un cancer de la glande surrénale ou tumeur cérébrale.
En général, ces patients présente plus d'un cancer.
Le risque de développer un cancer est proche de 100%, quelque soit le sexe.
Ce syndrome correspond à une mutation du gène TP53 .
Lichen plan buccal
Maladie inflammatoire chronique d’étiologie inconnue (immunologique ?)
Fréquente, 0,5 à 2 %de la population (F > H), peu ou pas liée au tabagisme
Elle siège à la face interne des joues, sur le repli vestibulaire ou la langue. Elle se présente sous trois aspects
- Une forme hyperkératosique (« tache de bougie », réseau, « feuille de fougère »..)
- Une forme érosive
- Une forme atrophique
Le risque de dégénérescence est plus élevé pour les formes érosives et atrophiques (dysplasie). Son traitement comprend :
- Une surveillance
- Une corticothérapie locale
- L'exérèse dans les formes dysplasiques : « Toute lésion blanche qui s’infiltre, saigne, s’ulcère, ou devient douloureuse est suspecte de transformation maligne »
Ligature des trompes
Obturation des trompes par un lien. Cette opération bloque le passage des ovules de l’ovaire à l’utérus et évite la fécondation et, par conséquent, la grossesse.
Liquide cérébro-spinal « LCS » (autrefois « LCR »)
Liquide qui circule autour du cerveau et de la moelle épinière. Le liquide cérébro-spinal est produit dans les ventricules du cerveau.
Lithiase
Calcul ou cailloux (calculs vésicaux, calculs de la vésicule biliaire).
Locus génétique
Position d'un gène sur le chromosome.
Lois de Mendel
Base de la transmission héréditaire, établies par Grégor Mendel vers 1860 et encore valables aujourd'hui. Mendel a déterminé ces lois en croisant des lignées de pois et en observant la transmission de certains caractères dans la descendance.
Première loi : le croisement de deux homozygotes « LL » et « rr » donne, en première génération (F1), un hétérozygote de génotype « Lr », mais seul le caractère « L », dominant par rapport à « r », apparaît dans le phénotype.
Seconde loi : le croisement de deux individus de la génération F1 donne trois combinaisons possibles pour la génération F2 :
« LL » (1/4 des individus),
« Lr » (1/2 des individus)
« rr » (1/4 des individus).
Le caractère « L » étant dominant, les 3/4 des individus de la génération F2 présenteront le phénotype « L ».
Lymphocyte B
Globule blanc chargé de la défense de l'organisme contre les antigènes extérieurs. Il garde la mémoire des rencontres antérieures. L'une de ses fonctions est la production d'anticorps.
Lymphocyte T auxilliaire //helper// CD4+
Globule blanc jouant un rôle majeur dans la réponse immunitaire et cible principale du virus VIH. Sa destruction par le virus du VIH induit une déficience grave de l'immunité, déficience qui à plus ou moins long terme est fatale.
Lymphocyte mémoire, gardien de l'immunité
Historique
En 1781, une épidémie de rougeole survint dans les îles Féroé situées au nord de l'Écosse. Aucun autre cas ne fut observé pendant les soixante-cinq années qui suivirent. Puis un second épisode survint, qui affecta 79 % de la population.
Ludwig Panum, médecin danois, fit alors une observation très importante : parmi les personnes âgées qui habitaient les îles Féroé et qui avaient eu la rougeole en 1781, aucune n'avait contracté la maladie une seconde fois. Le docteur Panum constata aussi que « les gens âgés, non infectés en 1781, devenaient malades quand ils étaient exposés à l'infection » .
Le concept actuel...
Ce travail mit en évidence deux points :
- Premièrement, l'immunité contre la rougeole était de longue durée
- Deuxièmement, une exposition répétée au virus n'était pas nécessaire au maintien de la protection immunitaire à long terme.
Le premier point avait déjà été reconnu par l'historien grec Thucydide, en décrivant la peste à Athènes en 430 avant J.-C. Dans ces récits, il avait déjà observé que la même personne n'était jamais atteinte deux fois.
Le deuxième point, disant que la protection immunitaire pouvait être maintenue en l'absence de réexposition au virus est le support du concept de la mémoire immunologique.
Ce sont les mécanismes de mémorisation que la vaccination tente de mettre à profit, en mimant, jusqu'à présent de façon essentiellement empirique, certains aspects du processus infectieux susceptibles de déclencher une réponse immunitaire protectrice. Une première rencontre avec l'antigène étranger induit une multiplication et une activation des cellules responsables de la reconnaissance spécifique des pathogènes, les lymphocytes, en particulier les lymphocytes T. C'est la réponse primaire.
La propriété la plus fondamentale de l'immunité acquise est la mémoire...
La mémoire immunologique, autrement dit la capacité de répondre plus rapidement et plus intensément à une deuxième rencontre avec l'antigène. On parle de réponse primaire pour toute première rencontre avec un antigène donné, et de réponse secondaire lors de la réintroduction du même antigène.
Pour l'immunité humorale ces deux types de réponse diffèrent par le délai d'apparition, la rapidité et l'intensité de la réponse, l'affinité et la classe des anticorps. La réponse anticorps secondaire apparaît après une phase de latence plus courte, atteint un plateau de niveau plus élevé avec des anticorps d'affinité plus forte et de nature IgG principalement, alors qu'ils sont de classe IgM pour la réponse primaire.
La mémoire immunologique s’explique par la plus grande fréquence des précurseurs T et B. Les cellules mémoire sont en outre qualitativement différentes des lymphocytes naïfs qui opèrent en réponse primaire : pour les lymphocytes B les anticorps de réponse secondaire ont une affinité plus élevée pour l’antigène, et pour les lymphocytes T ils migrent préférentiellement dans les sites de l’infection.
C'est la mémoire immunologique qui est la base théorique des succès de la vaccination, qui vise à générer des cellules mémoire par un premier contact avec un agent infectieux dont la virulence a été abolie mais l’antigénicité conservée, et des rappels vaccinaux qui ont pour objectif de restimuler ces cellules mémoire.
Lymphœdème
Œdème du membre supérieur dû à la perturbation de la circulation de la lymphe à cause du curage axillaire. Il peut apparaître quelques semaines ou plusieurs années après l’intervention. Il est en général modéré et peu gênant (+ 1 à 2 cm dans 30 % des cas). Plus rarement (< 5 % des cas), il est plus volumineux, gênant et aboutit au “ gros bras ” qui peut devenir une véritable infirmité.
Lymphome
Cancer développé à partir des lymphocytes.
Lymphomes B (classification OMS 2016
Leucémie Lymphoïde Chronique / Lymphome lymphocytique
Lymphocytose B monoclonale *
Leucémie prolymphocytaire B
Lymphome de la zone marginale splénique
Leucémie à tricholeucocytes
Lymphome lymphoplasmocytaire
Macroglobulinémie de Waldenström
Gammapathie Monoclonale de signification indéterminée (MGUS) à IgM
- Maladie des chaînes lourdes Mu
- Maladie des chaînes lourdes gamma
- Maladie des chaînes lourdes alpha
Gammapathie Monoclonale de signification indéterminée (MGUS) à IgG / A
- Myélome multiple
- Plasmocytome solitaire osseux
- Plasmocytome extra osseux
- Maladies à dépôts de chaine d’Ig monoclonale
Lymphome de la zone marginale (extra ganglionnaire) du tissu lymphoïde associé aux muqueuses (lymphome MALT)
Lymphome de la zone marginale ganglionnaire
Lymphome folliculaire
- Tumeur folliculaire in situ (auparavant : lymphome folliculaire in situ)
- Lymphome folliculaire type duodénal
Lymphome folliculaire de type pédiatrique
Lymphome B à grandes cellules avec réarrangement IRF4
Lymphome cutané centro folliculaire primitif
Lymphome à cellules du manteau
Lymphome diffus à grandes cellules B (DLBCL)
- Sans autre spécificité (NOS)
- De type centro germinatif B
- De type B activé
Lymphome B à grandes cellules riche en cellules T et en histiocytes
Lymphome diffus à grandes cellules B primitif du système nerveux central (DLBCL – CNS)
Lymphome diffus à grandes cellules B primitif, type jambe
Lymphome diffus à grandes cellules B EBV+ NOS *
Lymphome diffus à grandes cellules B associé à une inflammation chronique
Granulomatose lymphomatoïde
Lymphome à grandes cellules B primitif thymique
Lymphome à grandes cellules B intravasculaire
Lymphome à grandes cellules B ALK +
Lymphome plasmoblastique
Lymphome primitif des séreuses
Lymphome de Burkitt
Lymphome B de haut grade avec réarrangement MYC, BCL2 et/ou BCL6 *
Lymphome B de haut grade NOS *
Lymphome B inclassable avec critères intermédiaires entre DLBCL et lymphome de Hodgkin classique
Lymphomes T (classification OMS 2016)
Leucémie prolymphocytaire T
Leucémie à grands lymphocytes granuleux
Leucémie agressive à cellules NK
Lymphome T systémique de l’enfant EBV + *
Maladie lymphoproliférative vacciniforme –like*
Leucémie / lymphome T de l’adulte
Lymphome T/NK extra ganglionnaire nasal
Lymphome T avec entéropathie
Lymphome T monomorphe intestinal épithéliotrope *
Lymphome T hépatosplénique
Lymphome T type panniculite sous cutanée
Mycosis fungoides
Syndrome de Sézary
Maladies lymphoprolifératives T cutanées primitives CD30+
- Papulose lymphomatoïde
- Lymphome à grandes cellules anaplasique cutané primitif
Lymphome à grandes cellules cutané primitif gamma – delta
Lymphome T périphérique NOS
Lymphome T angio immunoblastique
Lymphome anaplasique à grandes cellules ALK+
Lymphome anaplasique à grandes cellules ALK- *
Lymphome anaplasique à grandes cellules associé aux prothèses mammaires *
Lymphomes (classification OMS 2016) - Lympho-proliférations post transplantation d’organes (PTLD)
PTLD avec hyperplasie plasmocytaire
PTLD avec mononucléose infectieuse
PTLD avec hyperplasie folliculaire floride
PTLD polymorphe
PTLD monomorphe (tyes B – et type T/NK)
PLTD de type lymphome de Hodgkin classique
Lymphomes (classification OMS 2016) - Tumeurs à cellules histiocytaires et dendritiques
Sarcome histiocytaire
Histiocytose à cellules de Langerhans
Sarcome à cellules de Langerhans
Tumeur à cellules dendritiques indéterminées
Tumeur à cellules dendritiques interdigitantes
Sarcome folliculaire à cellules dendritiques
Tumeur à cellules réticulaires fibroblastiques
Xanthogranulome disséminé juvénile
Maladie de Erdheim-Chester
Lynch (syndrome de)
HISTORIQUE
La première description clinique de ce syndrome remonte à 1913 quand le Dr Warthin note une association de cancers colorectaux (non polyposiques), gastriques et endomètriaux au sein d’une même famille. Il évoque alors la possibilité d’une hérédité sous-jacente.
En 1966, Henry Lynch rapporte à son tour dans 2 grandes familles une agrégation de cancers coliques en faveur d’une implication de l’hérédité évoquant une transmission autosomique dominante.
PRESENTATION
Le syndrome de Lynch, également appelé cancer colorectal héréditaire sans polypose (syndrome HNPCC).
Environ 5 % des cancers colorectaux (CCR) surviennent dans un contexte de prédisposition héréditaire au cancer. Le syndrome de Lynch est le plus fréquent des syndromes de prédisposition au cancer colorectal et est aussi associé à un surrisque de développement d’autres cancers (notamment cancer de l’endomètre et cancer de l’ovaire). Il est la conséquence d’une variation génétique constitutionnelle sur un gène faisant partie du système de réparation de l’ADN MisMatch Repair (MMR) : MLH1, MSH2, MSH6ouPMS2 ; ou du gène EPCAM (promoteur du gène MSH2).
Environ 5 % des cancers colorectaux surviennent dans un contexte de prédisposition héréditaire au cancer. Le syndrome de Lynch est le plus fréquent des syndromes de prédisposition au cancer colorectal et est aussi associé à un sur-risque de développement d’autres cancers (notamment cancer de l’endomètre et cancer de l’ovaire). Il est la conséquence d’une variation génétique constitutionnelle sur un gène faisant partie du système de réparation de l’ADN MisMatch Repair (MMR) : MLH1, MSH2, MSH6ouPMS2 ; ou du gène EPCAM (promoteur du gène MSH2).
LE SPECTRE TUMORAL
Le spectre tumoral de ce syndrome associant, avec des incidences très variables, cancers du côlon, du rectum, de l’endomètre, des voies urinaires excrétrices, de l’intestin grêle, des ovaires, de l’estomac, des voies biliaires, de la peau (tumeurs sébacées) et des tumeurs cérébrales.
EN PRATIQUE
Les patients susceptibles d’être porteurs d’un syndrome de Lynch seront adressés à une consultation d’oncogénétique en vue de la réalisation d’une analyse génétique constitutionnelle qui seule permet de confirmer le syndrome en cas de mutation d’un gène MMR.
En cas de prédisposition au syndrome de Lynch, un suivi clinique est recommandé qui débute à l’âge adulte et est avant tout centré sur la surveillance colique (coloscopies avec chromo endoscopie à l’indigo carmin tous les 1 à 2 ans à partir de 20–25 ans) et gynécologique (suivi annuel à partir de 30–35 ans comprenant un examen clinique, une échographie pelvienne et des prélèvements de l’endomètre pour examen anatomopathologique).
Une hystérectomie avec annexectomie bilatérale est proposée aux femmes prédisposées au syndrome de Lynch vers l’âge de 45 ans après accomplissement du projet parental.
Abréviations - L
LAL : leucémie aiguë lymphoblastique (ALL)
LAM : leucémie aiguë myéloblastique (ALM)
LBA : liquide broncho-alvéolaire (BAL)
LCA : ligament croisé antérieur
LCP : ligament croisé postérieur
LCR : liquide céphalo-rachidien (CSF)
LCS : liquide cérébro-spinal
LDH : lactate déshydrogénase
LED : Lupus érythémateux disséminé (SLE)
LID / LIG : lobe inférieur droit / gauche
LIN : lutte contre les infections nosocomiales
LLC : leucémie lymphoïde chronique (CLL)
LMC : leucémie myéloïde chronique (LMC)
LMD / LMD : lobe moyen droit / gauche
LNH : lymphome non hodgkinien (NHL)
LSD / LSG : lobe supérieur droit / gauche
LVA : libération des voies aériennes
LVAS : liberté des voies aériennes supérieures
Mise à jour
6 avril 2024